Messieurs-dames, nains malicieux et laiderons tuberculeux,
les Internets ne sont plus comme naguère réservés à une caste d’initiés sachant séparer le bon grain de l’ivraie ; désormais, ceux-ci sont envahis par une plèbe avide de contenu facilement digeste, plèbe d’ailleurs aisément impressionnable par quelques termes abscons savamment distillés dans un langage accessible au plus crétin.